MAISON ÉDITH BRÉHAT

Accompagnement
Ecriture
Design
Edition
Luxe

POUR MAISON ÉDITH BRÉHAT, UNE TENUE À SOI EST UNE ÉCLOSION DE SOI. 

Il est des accompagnements dont on sait qu’ils se feront, un jour. En temps voulu.
Edith venait de changer d’atelier. Elle venait de quitter les locaux industriels de
l’avenue Damrémont, pour le calme et la discrétion de la rue Cauchois, à
Montmartre.

Ce changement de géographie, lui inspirait une envie forte,
celle de pouvoir raconter avec unicité sa pratique de créatrice de robes de mariées.
Et, juste dans ce mot là _ robe _ se trouvait une place erronée, car trop étroite pour
le travail libre et non corseté d’Edith Bréhat.

Avant de fonder sa maison de couture, il faut imaginer Edith !
Petite, entourée de ses frères, genoux écorchés, courant dans la campagne,
montant sur la table de la salle-à-manger, sa grand-mère taillant 2 robes de vichy
rouge et blanc pour elle et sa mère.

Il faut imaginer Edith, entrant à l’école de la Rue Blanche, passionnée de théâtre.

Il faut l’imaginer costumière, confectionnant les fraises de dentelle blanche de Daniel Auteuil et Vincent Perez sur le tournage de la Reine Margot. Il faut l’imaginer encore taillant dans un satin vermillon une robe pour Agnès Jaoui.

ENFIN, IL FAUT IMAGINER ÉDITH, JEUNE MAMAN, SE MARIANT UN JOUR D’HIVER DANS UNE ROBE DE VELOURS ROUGE.

La nouvelle identité visuelle de la marque traduit cette idée de mélange de styles et d’infinies combinaisons de formes, d’objets et de mobilier.

Elle se structure autour de trois formes élémentaires, créatrices d’harmonie. Les trois cartouches se déclinent à l’horizontal et à la verticale selon les formats. Dans un jeu de déclinaisons, ils deviennent formes d’accueil pour des messages clés de la marque.

Édith empêche les carcans au sens propre
et au figuré.

Le mariage contient bien des codes et des assignations qui méritent d’être questionnés. Dans son atelier, nul diktat de beauté, de genre, de religion ou d’âge. Edith écoute chacune. Avec douceur elle prend soin, elle apprend à bien se regarder. Pas d’assignation à plaire à d’autres que soi. Edith aide chacune à ne jamais se laisser dicter ses choix. Les costumes d’époque qu’elle a étudiés racontent aussi une femme bijou possédée _ statue _ qu’elle a à coeur de dégommer.

Édith empêche les carcans au sens propre et au figuré.

Le mariage contient bien des codes et des assignations qui méritent d’être questionnés. Dans son atelier, nul diktat de beauté, de genre, de religion ou d’âge. Edith écoute chacune. Avec douceur elle prend soin, elle apprend à bien se regarder. Pas d’assignation à plaire à d’autres que soi. Edith aide chacune à ne jamais se laisser dicter ses choix. Les costumes d’époque qu’elle a étudiés racontent aussi une femme bijou possédée _ statue _ qu’elle a à coeur de dégommer.

POUR MAISON
ÉDITH BRÉHAT,
JE POSE LES MOTS.

Un manifeste à l’attention de toutes les femmes est mis en scène dans un poster grand format, il est composé avec la typo dessinée par Quentin Lamouroux, membre du collectif @bye.byebinary. Un atelier de création de polices inclusives et non binaires.

Des formes poétiques courtes et libres racontent l’ambivalence comme une liberté que l’on se donne. L’inspiration singulière et la multiplicité des formes rendues possibles par la technique et la liberté d’Edith s’expriment.

 

 

LE TEMPS D’UN JOUR
     ROBE LUCIOLE
POUR UNE VIE
     QUI S’INFINI

ELLE EST LIBRE
DANS SA TÊTE 
ELLE VEUT DU
     MARIE-ANTOINETTE

 

J’INITIE UNE COLLABORATION AVEC CAMILLE VIGNAUD. 

Elle est une artiste photographe passionnée d’édition. En commun, nous avons le goût du papier et des façons particulières. Nait une série d’images en noir et blanc, combinant technique argentique et numérique, des images qui racontent la rue Cauchois, lieu atelier, lieu cocon, lieu d’éclosion.

LE FIL ROUGE DE L’ÉCRITURE DEVIENT COUTURE.

Il façonne un objet soigné, enveloppé dans un poster plié, qui s’ouvre comme un vêtement.

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