CAMILLE JACQUET

Accompagnement
Stratégie
Ecriture
Design

UN PATRONYME, COMME UN LIEN D’ÉVIDENCE. 


Elle est psychosociologue, elle pratique l’intervention dans les organisations
et la psychothérapie. Dans le « et », elle trouve sa justesse. Elle s’appelle
Camille Jacquet.
Quand Camille est venue me trouver, elle présentait son activité principale,
la psychosociologie, sous le nom « Itinéraire de Progrès ». L’autre partie de son métier, le suivi psychothérapeutique de particuliers, existait par d’autres chemins presque cachés. Cette part là de sa pratique manquait de visibilité.


Camille s’interrogeait. Elle projetait de communiquer dans deux espaces séparés, d’un côté « Itinéraire de Progrès », de l’autre, il fallait l’imaginer. Et c’est sur cette question, qui en ouvrait d’autres, que se sont construits nos premiers échanges.

Au fil de nos conversations, Camille s’est racontée. De ses premiers pas dans l’univers du design et du digital, à sa place aujourd’hui. Et j’ai entendu sa curiosité jamais rassasiée, sa capacité à se renouveler, à étoffer ses pratiques, à se former souvent. J’ai noté sa façon de dessiner un chemin libre et non académique, qui font d’elle ce qu’elle est.

Plus encore, nos conversations nous ont menées à cette prise de conscience là :
ces 2 places sont complémentaires, et elles portent en elles une valeur unique.

Parce qu’elle écoute, observe et intervient à l’échelle de l’individu et du collectif, Camille Jacquet comprend et éclaire en connaissance de cause toute forme de liens
entre organisations sociales, collectifs au travail, organismes individuels et intimités.

Le « ET » final, de son nom de famille, portait en lui toute une valeur : il la positionnait.

Parce qu’elle écoute, observe et intervient à l’échelle de l’individu et du collectif, Camille Jacquet comprend et éclaire en connaissance de cause toute forme de liens entre organisations sociales, collectifs au travail, organismes individuels et intimités.

Le « ET » final, de son nom de famille, portait en lui toute une valeur : il la positionnait.

Une fois ce jalon posé, j’ai proposé à Camille de travailler sur un portrait chinois.
Une façon de guider pas à pas, la construction d’un langage formel, de codes visuels appropriables, d’un style à soi. En écho aux réponses à : « si tu étais un animal, une couleur, un pays »… J’ai posé des références, j’ai silhouetté et révélé un mood de personnalité.
Et le travail s’est poursuivi. Nous avons réfléchi à la structure de son futur site. À ses objectifs. Nous avons questionné le ton, la langue.

Camille ne voulait pas réduire sa pensée.
Dans son travail, Camille a ceci de particulier : elle éclaire les complexités.
Nous avons aussi écrit un manifeste porté à la première personne.
Et nos avancées sur le fond ont su se concrétiser sur la forme.

Et le travail s’est poursuivi.
Nous avons réfléchi à la structure de son futur site. À ses objectifs. Nous avons questionné le ton, la langue.

Camille ne voulait pas réduire sa pensée.
Dans son travail, Camille a ceci de particulier :
elle éclaire les complexités. Nous avons aussi écrit un manifeste porté à la première personne. Et nos avancées sur le fond ont su se concrétiser sur la forme.

Pour le site camillejacquet.com,
j’ai créé un collectif Temps Modernes.


Anaïs Raynard en a assuré la direction artistique et le développement.


La peintre et illustratrice Florence Collard,
a dessinée une série d’illustrations. Les spécialités de Camille ont pris corps, dans une gestuelle humaine, énergique et sensible. En grand format, et au pastel gras, elle a fait exister des idées.

Charlotte Bommelaer a photographié Camille.
Un shooting en extérieur s’est réalisé sur le parvis de Paris la Défense, un lieu symbolique pour évoquer le travail, les collectifs et la société ; un autre portrait plus corporate
a été réalisé en studio.

Pour le site camillejacquet.com, j’ai créé un collectif Temps Modernes.

Anaïs Raynard en a assuré la direction artistique
et le développement.

La peintre et illustratrice Florence Collard,
a dessinée une série d’illustrations. Les spécialités de Camille ont pris corps, dans une gestuelle humaine, énergique et sensible. En grand format, et au pastel gras, elle a fait exister des idées.

Charlotte Bommelaer a photographié Camille.
Un shooting en extérieur s’est réalisé sur le parvis de Paris la Défense, un lieu symbolique pour évoquer le travail, les collectifs et la société ; un autre portrait plus corporate
a été réalisé en studio.

Et tout a trouvé sa place.
Les textes, les images, et j’ai posé un lettrage sobre, avec un accent rouge sur le « ET », la première note et la touche finale de Camille Jacquet.

 

Faire advenir une parole en phase avec l’ancrage psychosociologique qu’on pris mes racines et mettre en forme cette nouvelle communication ont impliqué d’engager un cheminement de transformation : choisir de mettre mon prénom et mon nom en avant au-delà de ma société, laisser au bord de la route mon logo pourtant chéri parce que signifiant, choisir de ne faire qu’un seul site internet en assumant de mettre en visibilité mes activités qui s’adressent à des publics différents avec des enjeux distincts, orienter différemment le style graphique pour déployer et affirmer le positionnement qui est le mien. Et ceci au travers du dialogue entre nos sensibilités, de nombreux échanges avec toi, des temps d’élaboration, de débat et parfois de saines confrontations de nos représentations, comme une mise en acte de nos activités réciproques !

Je salue ton engagement et ta patience dans ce cheminement long et sinueux. Je suis admirative des trésors que tu déploies dans ton travail telle une artisane au plus près de l’éclosion des bourgeons.
Ton écoute profonde et sensible, ton regard aiguisé, ta souplesse, la finesse de tes traductions et de tes mises en perspective, le plaisir que tu épanouis dans le jeu avec les mots sont des talents incroyables. Tu sembles dire que deux ans c’est le tempo pour un tel accouchement. Un an pour labourer, aérer, mettre en germe ; six mois pour poser des fondations, ériger les murs et six mois pour extraire et faire naitre, alors même que cela peut résister !

Delphine, je te remercie encore d’avoir répondu à ma demande de compagnonnage et d’avoir su résonner avec moi. Alors, vraiment merci de cette traversée que tu permets et que tu organises.
Merci de ta proposition, merci d’être là.

CAMILLE JACQUET


Psychosociologue et praticienne en psychothérapie.


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